Robert Mapplethorpe

Sur la 23e rue Ouest, une façade majestueuse toute de briques rouges s’élève sur douze étages. Sur le porche d’entrée, une constellation de plaques en bronze annoncent déjà la légende. Si ces murs et interminables couloirs pouvaient parler, ils nous raconteraient tout un pan de l’histoire de la création, qui s’est écrit ici, au Chelsea Hotel, pendant plus de cinquante ans.

Né en 1949, Bertrand Lavier, l’un des très rares artistes français mondialement reconnus, ne perçoit que 890 € de retraite mensuelle alors qu’il a versé des fortunes à l’Ursaaf, ayant la chance, comme il le dit, de faire partie des 1 % d’artistes les plus cotés de la…

Du nord au sud et d’est en ouest, Beaux Arts vous emmène en balade dans toute la France, à la (re)découverte de 40 spots où l’art se vit au grand air. Dans les rues, dans des domaines d’exception, sur des sentiers de randonnée ou dans des jardins de rêve… Aujourd’hui, on se laisse charmer, en Touraine, par un château qui réserve bien des surprises.

Difficile de courir les musées lorsque son compte en banque fait grise mine… Surtout lorsqu’ils ne sont pas près de rouvrir ! Heureusement, les galeries sauvent la mise : de la Bretagne à Paris en passant par le Gard, repérage en 6 expos qui nous font (un peu) oublier la crise.

Artiste immanquable de la scène photographique américaine, Robert Mapplethorpe a prouvé pendant sa courte, mais prolifique carrière, qu’il maîtrisait à la perfection le noir et blanc. Sa gestion de la lumière au cordeau, comme ciselée, sublime ses portraits, ses natures mortes et ses nus masculins. La galerie Thaddaeus Ropac dédie un accrochage à l’étape la plus sulfureuse de sa carrière : celle dédiée à l’érotisme et à l’homosexualité.